Certains soutiennent l'idée d'une relance de la transition.
À six mois de l'élection présidentielle, des rumeurs circulent dans le monde politique, semant le doute quant à sa tenue normale. Certains estiment qu'il faudrait prendre davantage de temps pour consolider la crédibilité du processus électoral en instaurant une transition courte, tandis que d'autres s'opposent à cette idée, affirmant que tenir le scrutin à la date prévue est crucial. Le débat sur cette question divise les cercles politiques et devrait continuer à faire l'objet de nombreux débats dans les semaines à venir.
La révision des listes électorales par la CENI a été critiquée pour son manque de transparence et d'équité, soulevant des doutes quant à la possibilité d'avoir des élections libres et équitables. De nombreux citoyens ont manifesté leur inquiétude quant à la tenue d'un scrutin qui ne respecte pas les normes électorales internationales. Pour y remédier, l'idée d'une révision du code électoral est avancée, et des discussions sont en cours entre les différents acteurs politiques pour parvenir à un consensus. Certains proposent une concertation nationale pour aborder l'ensemble des problèmes, tandis que d'autres prônent une transition courte pour réunir tous les acteurs de la vie politique et travailler ensemble pour le bien du pays. Cependant, cette dernière option est farouchement contestée par certaines personnalités éminentes.