Des pays comme la Chine, les États-Unis et les Émirats arabes unis utilisent la technique d'ensemencement des nuages pour modifier la météo, mais cette approche suscite des inquiétudes quant à son efficacité et à ses implications diplomatiques.
La modification artificielle de la météo suscite des débats à l'échelle mondiale, avec des pays comme la Chine, les États-Unis et les Émirats arabes unis qui expérimentent l'ensemencement des nuages pour influencer les précipitations. La Chine, en particulier, se positionne en leader mondial de cette pratique, en utilisant des techniques d'ensemencement pour répondre aux besoins de sa population et de son économie en matière d'eau. Cependant, l'efficacité de ces méthodes est contestée et leur utilisation soulève des tensions diplomatiques entre les nations.
L'ensemencement des nuages implique l'introduction de particules de sel ou d'iodure d'argent dans les nuages pour induire des précipitations. Alors que certaines régions souffrent de pénuries d'eau et de sécheresses dues au changement climatique, les pays comme la Chine ont recours à cette technique pour augmenter les précipitations. Cependant, cette approche soulève des questions concernant son impact réel sur les régimes de précipitations, ainsi que sur les conséquences à long terme pour l'environnement et les écosystèmes. En outre, l'utilisation de telles techniques météorologiques crée des tensions internationales, car différentes nations cherchent à exploiter les nuages pour atteindre divers objectifs, ce qui peut entraîner des différends sur les ressources en eau et la souveraineté météorologique.